vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

 

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OBJECTIF (PERSONNEL)

OBJECTIF( ah le beau caillou !)

OBTURATEUR

OEIL (VISEE AVE L')

OCTET


OBJECTIF (PERSONNEL)

 

Personnel : faire de bonnes photographies ! Ne pas répéter mes erreurs, apprendre les bases….pourraient constituer un excellent programme ainsi, d’ailleurs, que la lecture de ce DIP*.


OBJECTIF (ah le beau « caillou » !)


Technique : tout le monde sait qu’un objectif c’est d’abord de la physique : un ensemble de lentilles , c'est-à-dire des éléments en verre ou en plastique permettant de faire converger ce qu’ils voient sur le capteur ou la pellicule. Cela dit l’histoire des objectifs est longue, très longue depuis le tout premier fait par un opticien Français : CHARLES CHEVALIER* jusqu’au dernières performances des zooms ultra réduits.

On peut citer l’objectif PETZVAL à 2 lentilles de 1840, les objectifs TESSAR de Zeiss de 1902 , le premier Zoom ANGENIEUX* Français de 1956 , l’ultra lumineux Noctilux de LEICA ouvert à 1.0 et le rêve photographique inaccessible le Summar 75 mm ouvert à 0.85 mais à quel prix !!

CHARLES CHEVALIER* en 1825 équipait les premiers appareils de DAGUERRE* personnalité controversée, on se demande s'il n'aurait pas "piraté" l'invention de Louis Mandé DAGUERRE* en s'en attribuant la paternité.

 

SOURCE : http://www.niepce-daguerre.com/chevalier.html


OBTURATEUR

 

Système permettant de préserver de la lumière pendant un temps donné l’optique de l’appareil photographique. Le premier OBTURATEUR* fût un cache éponyme  tenu à la main enlevé puis remis sur l’objectif. Puis on en vint à un système de volet (simple ou double) commandé par une poire, puis de guillotine (simple ou double) qui consistait à faire passer devant l’objectif par gravité une planchette bois ou métal percée d’un trou.

Les petits box des années 1920/1930 possédaient un obturateur rotatif simple plaque métallique commandée par des ressorts. Viendra sur les 24x36 l’obturateur à rideau , simple toile au début, plaqué à quelques millimètres de la surface sensible. Tout cela ira, bien entendu, en s’améliorant par l’utilisation de matériaux modernes afin d’obtenir une plus grande vitesse :  pour l’instant et sans artifice « vidéo » on serait aux alentours du 1/8000 ième de seconde ; je reste persuadé qu’un amateur, même expert, n’utilisera cette vitesse que 2 ou  3 fois dans sa vie de photographe – et encore les 2 premières pour voir - …donc effet marketing ?

 

A quoi ressemblait un obturateur « à l’ancienne « 


ŒIL  (VISEE)

 

Très ancienne et dépassée façon de viser son sujet . Elle est aujourd’hui largement remplacée par la visée à bout de bras à travers un mini écran, ce qui est assez peu pratique quand on est presbyte ( pour ne reprendre qu’une seule tare de vision) et qu’on se met à regretter le viseur à réglage dioptrique qui s’adaptait à votre vue .

On peut, cependant constater, depuis les années 2010 un retour en grâce du viseur optique devenu viseur électronique aux progrès fulgurants sans cependant atteindre la qualité des viseurs optiques mythiques (MINOLTA, LEICAµ* ). On associe de plus en plus une bascule ( automatique ou non ) écran/viseur et un réglage optique pour les binoclars.

 


ORWO

 

Pellicule fabriquée dans l’Est de l’Europe. Voir des précisions à PERUTZ*.


vous pouvez retrouver les mots en MAJUSCULE* et astérisque dans une des 4 parties du DIP

 

 

 

P

 

 PANIER(DE DIAPOSITIVES)

 PAPIER (TIRAGE)

 PAS DE VIS (SUR DECLENCHEUR)

 PAS DE VIS (OBJECTIF)

 PELLICULE

 PELLOCHE

 PHOTOLIPHILISTE

 PHOTOSITE

 PLAQUE

 POIGNEE

 POSEMETRE (VOIR CELLULE)

 POSITIF

 PRESSE FILM

 


PANIER  (DE DIAPOSITIVES)

 

Petit contenant très pratique destiné, pour ceux qui souhaitent projeter leurs diapositives argentiques, à contenir de 20,36 à 100 DIAPOSITIVES* donc à faciliter la projection et le classement de vos œuvres « positives ». Il faut signaler que, entre les chutes, les DIAPOSITIVES*  qui se coincent et prennent une courbure inquiétante, le blocage faisant monter très vite la température de votre projecteur, la longue attente pour qu’enfin une norme fasse que vos PANIERS*  soient acceptés par plusieurs marques, ces maudits PANIERS* ont été, pour les anciens, une source d’énervement certaine.

plusieurs possibilités de PANIERS : longs (36 ou 50 DIAPOSITIVES*) ROND (80 ou 100)

SOURCE et MONTAGE : JCR


PAPIER (TIRAGE)

 

En ARGENTIQUE*, n’en déplaise aux « nouveaux labos » , le tirage était la transformation de tout NEGATIF* en positif sur PAPIER* dédié. L’émotion était souvent forte quand on plongeait sa feuille de papier, préalablement choisie en fonction de la qualité appréçiée du négatif ( SUREX*, SOUS EX*..), dans le bac du révélateur et qu’apparaissait votre œuvre encore peu lisible.

 


PAS DE VIS  (DECLENCHEUR)

 

 

Sur les anciens appareils argentiques il existait sur le déclencheur lui-même un PAS DE VIS*  permettant de monter un DECLENCHEUR*  souple ou un DECLENCHEUR AUTOMATIQUE*. Bien entendu avec les techniques nouvelles tout cela est devenu obsolète.

 


PAS DE VIS (OBJECTIF)

 

en même temps que les montures d'OBJECTIF* à BAIONNETTE* subistait la monture à VIS. La plus connue était le pas 42 crée par ZEISS pour son CONTAX S et utilisée par de très nombreuses marques (PENTAX*, ZENIT, PRAKTICA, HANIMEX, KODAK*, MAMIYA*..) appelée  également M 42.

Parallèlement existait une monture à vis M 39, plus ancienne, issue de l'univers LEICA* et utiliée, là aussi, par de nombreuses marques (ANGENIEUX* ,BERTHIOT, CANON, MINOLTA*...)

 


PELLICULE 

 

Voir EMULSION


PELLOCHE

 

Voir EMULSION

Pour les termes argotique on consultera - avec plaisir - la quatrième partie du DIP* :"

PHOTOLIPHILISTE

 

Appelé également photophile c’est celui ou celle qui collectionne les photographies anciennes telles que les Autochromes (LUMIERE), les tirages modernes en noir et blanc ou couleurs. Un distinguo peut apparaître avec les collectionneurs de DAGUERREOTYPES* qu’on peut appeler les DAGUERREOPHILISTES* (quand on veut

« pinailler » on y arrive souvent !).


PLAQUE

 

Vous avez du entendre parler d’appareil à PLAQUE*S, mais qu’est ce au juste ? Avant que la PELLICULE* n’apparaisse sur le marché tous les photographes préparaient leur surface sensible en répartissant de façon très homogène sur une PLAQUE* de verre les produits nécessaires à la capture de la lumière : l’EMULSION *; On passe rapidement de la plaque humide à la plaque sèche au collodion et les Frères LUMIERE bâtiront leur fortune sur la fameuse plaque Bleue exposable au 1/60 ième de seconde ;
les appareils à PLAQUES* étaient encombrants à cause desdites plaques et certains modèles étaient même à chargement automatique, cassant d’ailleurs plus de PLAQUES* que celles exposées.

 

A quoi ressemblait un appareil à plaques automatique :

 

 

appareil de type MAGAZINE (ou DETECTIVE ) qui emportait une dizaine de PLAQUES* photographiques ( souvent des 6 1/2 X 9 ) Un mécanisme - dont on voit en façade la clef de mise en marche - permettait de charger pour la prise de vues.  il s'agit d'une fabrication Francaise.

 

SOURCE : JCR


POSEMETRE ( voir cellule )


POSITIF

 

On ne le répètera jamais assez : on obtient un positif papier après TIRAGE d’un négatif. Il existe encore des labos qui ne font pas la différence ( j’ai les noms…).Voir utilement NEGATIF*


PRESSE FILM

 

Quand on ouvre un boitier argentique on a sur la partie mobile un rectangle noir généralement mat et légèrement en gravé en profondeur de plusieurs points : c’est le presse film, appelé aussi presseur qui sert à rendre complètement plat la PELLICULE et éviter ainsi toute déformation malvenue ainsi qu’à guider ladite PELLICULE sur les deux rails qui apparaissent en chromé. L’état du PRESSE FILM* n’est pas indifférent car il peut créer des rayures visibles au DEVELOPPEMENT.